0
fr
US
WSM
255908686

Mon panier

Votre panier est vide.
Menu

Quantité limitée

H. Pylori Fight Advanced Formula

Complément alimentaire premium de soutien face à Helicobacter pylori

Un « traitement naturel premium » qui réunit les meilleurs composés testés contre Helicobacter pylori
  • Contient du Pylopass™, un postbiotique breveté qui se co-agrège naturellement à Helicobacter pylori au sein de l’estomac.
  • Contient également 3 probiotiques de renom (Lactobacillus acidophilus, Bifidobacterium bifidum et Streptococcus thermophilus) qui contribuent à l’équilibre du microbiote intestinal et se fixent à la muqueuse de l'estomac, réduisant le nombre de sitesH. pylori pourrait s'attacher.
  • Riche en inuline, un glucide qui sert de nourriture aux « bonnes bactéries ».
  • Renferme aussi de la gomme mastic, pour laquelle plusieurs études constatent une potentielle activité antibactérienne contre H. pylori.

Achat immédiat

60 Gél. Vég.

55.00 €

Abonnement

60 Gél. Vég.

55.00 €

50.60 €

Je voudrais

chaque

H. Pylori Fight Advanced Formula

Vegan
Sans gluten
Sans nanoparticules
Sans excipients controversés
Sans lactose
Sans édulcorant

La synergie révolutionnaire H. Pylori Fight Advanced Formula intègre les toutes dernières avancées de la recherche dans la lutte contre la bactérie pathogène Helicobacter pylori (alias H. pylori). Ce « traitement naturel premium » s’inscrit dans notre catégorie Digestion, Confort gastro-intestinal et bucco-dentaire.

La formule premium H. Pylori Fight Advanced Formula combine le fameux postbiotique Pylopass™ avec 3 probiotiques triés sur le volet, de l'inuline et de la gomme mastic, pour une efficacité encore jamais égalée.

Un « traitement naturel premium » sans antibiotique, dédié à Helicobacter pylori

Version améliorée de notre célèbre H. Pylori Fight, la formule synergique H. Pylori Fight Advanced Formula combine les composés les plus prometteurs contre la bactérie Helicobacter pylori :

  • Pylopass™ DSM17648 : soutenu par plus de 10 études cliniques, ce postbiotique breveté obtenu à partir d’une souche probiotique inactivée de Lactobacillus reuteri, déjà au cœur d'H. Pylori Fight, possède la capacité de se lier spécifiquement à la bactérie Helicobacter pylori. Cette co-agrégation entrave grandement sa mobilité et empêche son adhésion à la paroi de la muqueuse gastrique. Une étude portant sur 11 adultes testés positifs à H. pylori a ainsi montré une réduction de la charge bactérienne chez 62,5 % des participants après 28 jours de supplémentation (1).
  • Lactobacillus acidophilus : cette bactérie lactique présente dans les laitages fermentés contribue à l'équilibre du microbiote intestinal. Les études montrent aussi qu'elle adhère à la muqueuse gastrique, ce qui empêche H. pylori de s'y attacher efficacement. D'autres études suggèrent que Lactobacillus acidophilus pourrait également moduler la réponse immunitaire et produire des acides organiques et d'autres composés capables d'inhiber la croissance d'H. pylori (2-3).
  • Bifidobacterium bifidum : cette souche probiotique, couramment employée en cas de gastrites associées à Helicobacter pylori, agit de façon similaire à Lactobacillus acidophilus. En se fixant à la muqueuse de l'estomac, elle entre en concurrence avec Helicobacter pylori et réduit le nombre de sites auxquels la bactérie pathogène peut s'attacher. Bifidobacterium bifidum pourrait aussi soutenir l'immunité (4-5).
  • Streptococcus thermophilus : il a été démontré que ses exopolysaccharides s’attachent à l'épithélium gastrique (la première couche de la muqueuse gastrique en contact avec le contenu de l'estomac) et limitent ainsi, eux aussi, l'adhésion d’Helicobacter pylori (6).
  • L’inuline : cette fibre, traditionnellement qualifiée de prébiotique naturel, est présente dans divers végétaux (chicorée, artichaut, ail…) Elle appuie les bénéfices de ce combo microbiotique en nourrissant les bonnes bactéries et en soutenant leur croissance (7).
  • La gomme mastic : cette résine tirée du lentisque pistachier présenterait selon la littérature scientifique une activité bactéricide potentiellement intéressante pour réduire la colonisation par Helicobacter pylori. Ses effets sont attribuables à sa fraction acide constituée d’acides terpéniques (8). Elle contribuerait également à restaurer l'épithélium gastrique.

Rappel : qu’est-ce que la bactérie H. pylori ?

Helicobacter pylori est une bactérie à Gram négatif de forme hélicoïdale qui colonise la paroi interne de l’estomac (9). Dotée de mécanismes adaptatifs redoutables, elle compte parmi les seuls agents pathogènes à pouvoir survivre dans un milieu aussi acide. Elle produit en particulier une enzyme appelée uréase qui convertit l’urée en ammoniac, ce qui a pour effet d’abaisser l’acidité gastrique et de favoriser sa prolifération dans le mucus (10). Une fois installée, elle ne disparaît pas spontanément et persiste durant toute la vie si elle n’est pas correctement éradiquée.

La contamination à H. pylori est extrêmement fréquente, avec une prévalence qui s’élèverait à 50 % de la population mondiale (11). Celle-ci survient généralement durant l’enfance, essentiellement par contact direct avec les sécrétions gastriques (régurgitations, vomissements…), plus rarement par les selles dans les pays en voie de développement aux conditions d’hygiène précaires. Pouvant rester longtemps silencieuse, elle débouche dans certains cas sur des complications sévères, comme nous allons le voir plus loin.

Les compléments à associer avec H. Pylori Fight Advanced Formula

Pour soutenir la restauration de la muqueuse gastrique, nous vous suggérons le tandem DGL 500, complément de racine de réglisse déglycyrrhizinée qui participe à la santé gastro-intestinale en favorisant notamment la sécrétion de mucus, et Zinc L-Carnosine, le zinc participant à la protection des cellules contre le stress oxydatif (21-22).

Pour apaiser les inflammations gastriques induites par H. pylori, vous pouvez également miser sur le curcuma (par exemple avec Super Curcuma qui jouit d’une assimilation record). Ce rhizome aux propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes s’emploie depuis des millénaires en médecine ayurvédique pour soutenir les processus digestifs (23).

De quoi se compose H. Pylori Fight Advanced Formula

Inuline
Fibre
Gomme mastic
Composé organique
Pylopass™
Probiotique
Lactobacillus acidophilus
Probiotique
Bifidobacterium bifidum
Probiotique
Streptococcus salivarius thermophilus
Probiotique

Des questions ? Des interrogations ?

Helicobacter pylori : quels symptômes ?

H. pylori induit une inflammation chronique de l’estomac (gastrite) qui passe le plus souvent totalement inaperçue (12). Une grande majorité des personnes infectées resteront d’ailleurs asymptomatiques durant toute leur existence. Chez certains sujets toutefois, elle peut être suspectée en cas de gêne digestive récurrente (douleurs et/ou reflux gastriques, éructations, nausées, vomissements, perte d’appétit…) (13) De tels signes sont néanmoins peu caractéristiques et parfois attribuables à d’autres troubles.

Infection à Helicobacter pylori : est-ce grave ?

Helicobacter pylori est d’autant plus insidieuse qu’elle évolue à bas bruit, souvent sur plusieurs décennies. Elle est ainsi accusée dans 10 % des cas de provoquer sur le long terme des lésions et/ou des ulcères gastroduodénaux (touchant l’estomac et/ou le duodénum, fraction haute de l’intestin grêle) (14).

De façon exceptionnelle (dans environ 1 % des cas), certains porteurs de la bactérie finissent par développer un cancer gastrique. Il apparaît néanmoins que H. pylori serait responsable de près de 80 % des tumeurs malignes de l’estomac, d’où l’importance de mettre en place une stratégie thérapeutique au plus tôt après le diagnostic pour minimiser ce risque (15).

Helicobacter pylori : existe-t-il un test sanguin ?

Lorsqu’il n’existe aucun critère d’urgence, il est possible d’écarter la piste d’une infection à H. pylori par une sérologie (prise de sang) qui détecte les anticorps IgG dirigés contre la bactérie : un résultat négatif exclut d’office la contamination (16). À noter qu’il existe deux autres examens réalisables en laboratoire pour prédétecter la bactérie : la recherche d’antigènes dans les selles et le test respiratoire à l’urée marquée (utilisé plus volontiers en aval pour contrôler l’élimination de la bactérie après traitement) (17).

Lorsque les tests sont positifs, qu’il existe des antécédents familiaux de cancer de l’estomac ou un contexte clinique particulier (dyspepsie chronique, intervention bariatrique programmée, carence en vitamine B12 inexpliquée…), l’endoscopie haute ou fibroscopie constitue l’examen de référence (18). Le prélèvement d’un échantillon de cellules de la paroi gastrique (biopsie) et leur mise en culture permettent de confirmer la présence d’H. pylori et de tester sa sensibilité aux antibiotiques disponibles en établissant un antibiogramme. Le contrôle endoscopique présente également un autre intérêt : il peut mettre en évidence d’éventuelles lésions ulcéreuses ou précancéreuses causées par la bactérie.

Quels traitements antibiotiques contre H. pylori ?

H. pylori n’est sensible qu’à une poignée de molécules anti-infectieuses. Si la sensibilité de la bactérie a pu être testée, le traitement conventionnel repose sur une trithérapie combinant un inhibiteur de la pompe à protons (IPP) et 2 antibiotiques (amoxicilline + clarithromycine ou lévofloxacine). Dans le cas contraire, une quadrithérapie « probabiliste » associant un IPP, des antibactériens (métronidazole, tétracycline…) et/ou du sel de bismuth est habituellement prescrite (19).

Pour autant, l’antibiothérapie est loin d’être infaillible : elle se solde par un échec dans 10 à 20 % des cas. Outre la mauvaise observance du traitement, cet échappement thérapeutique apparaît comme une nouvelle illustration du phénomène d’antibiorésistance (20). La communauté scientifique s’alarme d’ailleurs du fort taux de résistance primaire de H. pylori à la clarithromycine et à la lévofloxacine dans le monde. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a ainsi classé cette bactérie comme « un agent pathogène prioritaire pour la recherche-développement de nouveaux antibiotiques ».

En quoi sont faites les gélules de ce produit ?

Les gélules de ce produit sont composées d'HPMC (hydroxypropylméthylcellulose), une substance végétale dérivée de la cellulose. L'HPMC est couramment utilisée pour les médicaments et les compléments alimentaires. Elle ne contient aucun ingrédient d'origine animale, est reconnue comme sûre par les autorités de santé et est considérée comme plus durable que les alternatives synthétiques.

Avis

La note de ce produit est de 3.8 sur 5 étoiles.
Nous avons récolté 8 avis.

38%

38%

12%

0%

12%

Excellent 8 Avis
Belkiss

6 juillet 2024

Il est trop tôt pour évaluer ce produit car traitement long; je verrais dans 3 mois. Malgré leur taille importante les gélules s'avalent très bien et vraiment c'est très important! Merci

Bordoni Milioni Liliana

24 juin 2024

Je continue à l’utiliser pour le bénéfice digestive ensemble a le DGL500 et à la mastica. Un tris efficace pour moi. Je ne verrais l efficacité contre l Hp au control

Nadège Gonzales

23 mars 2024

Il me semble avoir moins de douleurs et crampes à l'estomac, il y a donc un bénéfice

Debliqui Odile

29 février 2024

Bien, il faut voir dans le temps, je connais celui qui est non advenced et qui permet vraiment de se débarrasser de h. Pylori. Dommage qu'il revienne :/

Serge

8 février 2024

Pas convaincu, surtout de la nouvelle composition

Besoin d'aide ?

Téléphone

Appel gratuit* au
0800 _666 742
de 8h30 à 19h00 du lundi au vendredi
(*France Métropolitaine uniquement, +352 283 831 29 depuis les autres pays)

Questions fréquentes

Trouver les réponses aux questions les plus courantes

Formulaire de contact

Vous ne trouvez pas la réponse à votre question sur le site et souhaitez nous contacter directement ?
Nous écrire
Paiement sécurisé
32 années d'expérience
Satisfait
ou remboursé
Envoi rapide
Consultation Offerte